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pour Aina Serban

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de [felipe ]

2005-04-22  | [Acest text ar trebui citit în francais]    | 








Quand j’aurai moi tout vu, misaines insolentes, le sel et les lentes à l‘aube ses yeux peints, défaits sous les néons, bottines à boutons, une peau de mouton sur ses hanches et vive le progrès des villes-ludions qui se meuvent à grands éclats vers la pierre, navrante d’immobilité chevauchant le noir hippocampe des fêtes foraines, qui ne va jamais que de bas en haut sous les trombes qui le hante d’être seul sous les lunes électriques, perdu dans les haubans imbéciles des tentes bigarrées d’ondes ultramarines, vers les voyageurs sans attaches qui fuient.

Détachés des tempêtes, leurs fruits d’aubes et d’archipels exilés dans la langueur d’un tropique oublié de l’Europe carénée de travellers-check, de banques-forteresses enfouissant le calcul de l’or jaillissant d’anciennes fonderies ou l’homme fut la pulpe d’une sève longuement pressurée, la morve des forêts, son immonde reflet de lacs et de diamants enfouis dans l’eau méphitique des coraux lumineux et des gouffres luminescents.

Dès lors le ciel borgne ouvrit ses yeux crevés, sic, osant voir enfin la mer de carton indolente, bouillie dans les soleils vrombissant d’étoiles copulatives tombées dans les cataractes d’un sommeil embaumé d’ivresses pélagiques, sieste ou exil, enivrantes torpeurs chaloupées d’une glauque traversée, fouillant dans les sargasses des rostres de navires, étraves enfin pour creuser dans les lames d’ivoire, les cieux infinis.


…Des bémols, des rues, de fausses fores, violets errants, E.T.I phalliques enchantements…






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