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L\'hâté
proză [ ]

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de [JoyanJomond ]

2005-10-02  | [Acest text ar trebui citit în francais]    | 



L’hâté

La veille,
il n’avait trouvé grâce auprès des anges du ciel
Il torturait ses méninges à rassembler quelques remords
non persuadé que c’était le sort
qui dehors s’acharnait sur lui, mais bien de l’inverse,
lui conjurait le sort, ce choix qui l’avait trahi,

une étrange sensation reposait sur ce malaise,
il se demandait pourquoi ces choses-là,
qui souvent n’arrivent pas seules le frappaient,
il repensait à ceux qu’il s’empressait de réconforter
au moindre signe de dépit
comme un messager de l’esprit
envoyé purifier les âmes en peine,


faux dévot ou enfer du devoir,
comment savoir ce qui le poussait,
les forces qui le guidaient,
tant de mystères que renvoyaient
sa personne à qui y songeait,

Amère dans l’attente, le silence l’attristait
Plus qu’une pénitence n’accable l’affligé,
Peu de merveilles en ce monde le réjouissaient,
Son modeste bonheur fait de douceur et si fragile
Qu’un souffle l’aurait ébranlé contrastait
de cette fouge qui bâtait de régularité
quand la peur ou le doute s’installait,

Etait-il condamné ? Essayait-il de s’en persuader ?
Où d’intéresser l’empathie collective ?
Il se laissait allez aux faveurs de l’amour
d’où il naquît, celles qui l’avaient conquit
Qui le paraît plus que jamais, en qui il croyait

il pouvait le voir se lever un matin
Et le revoir au coucher du lendemain près de lui,
Comme s’il était figé à ses côtés
Les yeux rivés sur cette foi qui l’appelait,
de cette utopie qui demeurait
il tirait
Sa vérité,
sa loi,
sa dignité.

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